vendredi 23 avril 2010

[21septembre] Samedi 24 avril Concert ROCK devant le centre ferme 127bis !


 
 

STEENROCK

« Faites de la musique, pas des centres fermés ».

 

 

Concert gratuit devant le centre fermé 127 bis de Steenokkerzeel

 

le samedi 24 avril 2010

 

Rendez-vous : 13:30 à la gare de Nossegem

 

Départ : 

 

A vélo à 12:00 sous les arcades du Cinquantenaire.

En train : direction Leuven, arrêt Nossegem, départ toutes les heures depuis les gares Bruxelloises (ex. 12:26 à la gare du Midi)

En voiture : autoroute E40 vers Liège, sortie 21 Sterrebeek (IKEA), direction Steenokkerzeel

 

Programme :

 

13:30 : Marche guidée par la fanfare Jour de Fête depuis la gare de Nossegem vers le centre fermé 127bis.

14:00 - 18:00 : Concerts devant le centre fermé : Les Voix des Garennes, Jour de Fête, Daniel Hélin, Haleh et The Bikinians.

 

Parce que la poésie et la musique sont des armes douces mais redoutables contre l'injustice, parce que l'art et la mobilisation des artistes permet de sortir de l'indifférence, parce que les centres fermés sont la honte de nos soi-disant démocraties, parce que l'on veut offrir aux sans-papiers un chant de solidarité, montrer aux autorités notre désaccord et rappeler aux gens l'existence des ces prisons : faites de la musique, pas des centres fermés!

 

Au plaisir de vous y voir,

 

Matthieu (pour la CRER)

 

site internet : www.myspace.com/steenrock

 
 


Dossier de presse "Steenrock" en pièce jointe...

 

STEENROCK

« Faites de la musique, pas des centres fermés ».

 

affiche steenrock corrigée

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mercredi 21 avril 2010

[21septembre] [ ECOLO - Sans papiers ] Manif concert samedi + Nouvelles des parlements : ADN, visa, régularisation, accueil, ....

Ce samedi 24 avril de 13h30 à 18h : Faites de la musique, pas des centres fermés !

Merci aux artistes : Damiel Helin, The Birkinians, Haleh, Jour de Fête, Les voix des garennes !

J 'espère vous voir à Steenokerzeel, devant le centre fermé 127 bis.

http://regularisation.canalblog.com/archives/2010/03/26/17371968.html

 

Nouvelles des parlements :

 

Journée de la Femme : quid des primo-arrivantes ? 

A l’occasion de la Journée de la Femme (le 08 mars), le Parlement bruxellois et l’Assemblée réunie de la Commission Communautaire Commune a organisé une séance plénière entièrement consacrée aux problèmes multiples que rencontrent les femmes dans nos sociétés aujourd’hui. Vincent Lurquin en a profité pour rappeler le caractère particulièrement dramatique de la situation des femmes et des mères réfugiées et sans-papier en Belgique. Il a également pu aborder la question de la création de l’agence bruxelloise pour l’accueil des primo-arrivants. 

http://www.vincentlurquin.be/spip.php?article33

 
Test ADN pour regroupements familiaux : très coûteux !
Wathelet examine la possibilité d'une prise en charge pour les familles en besoin de protection.
 
 
18 policiers pour expulser 3 Nigérians :
Wathelet refuse de divulguer le coût de l'opération.
 
 
Régularisation : Les dossiers des personnes en centre ouvert examinés en premier
Pas de délais clairs à annoncer aux employeurs. Des difficultés avec certains policiers qui vérifient la domiciliation un peu vite et constatent une absence, et le dossier n'est pas transmis à l'Office des étrangers.
 
 
Attention : si pas de nationalité belge, une absence d'un an peut provoquer un refus de séjour !
Et pourtant c'est illégal...
 
 
Demandeurs de protection laissés à la rue : ça continue !
Bricolage, gaspillage d'argent, gestion court terme : quand ce gouvernement proposera-t-il un vrai plan de répartition et de sortie des demandeurs d'asile accueillis depuis plus d'un an ? Pourtant la solution la moins chère, et permettrait d'examiner les nouvelles demandes en accueillant en centres ouverts...
 
 
Doublement du prix des visas long séjours : encore un obstacle en plus.
http://www.zoegenot.be/Doublement-du-prix-des-visas-long.html
 
 
 
Zoé Genot, députée fédérale ECOLO
rue de Louvain 21, 1008 Bruxelles
tel 02.549.90.59, fax 02.549.87.98, zoe.genot@ecolo.be
 
 
 
 

mardi 20 avril 2010

[21septembre] 24 avril Concert ROCK devant le centre ferme 127bis !


 

STEENROCK

« Faites de la musique, pas des centres fermés ».

 

 

Concert gratuit devant le centre fermé 127 bis de Steenokkerzeel

 

le samedi 24 avril 2010

 

Rendez-vous : 13:30 à la gare de Nossegem

 

Départ : 

 

A vélo à 12:00 sous les arcades du Cinquantenaire.

En train : direction Leuven, arrêt Nossegem, départ toutes les heures depuis les gares Bruxelloises (ex. 12:26 à la gare du Midi)

En voiture : autoroute E40 vers Liège, sortie 21 Sterrebeek (IKEA), direction Steenokkerzeel

 

Programme :

 

13:30 : Marche guidée par la fanfare Jour de Fête depuis la gare de Nossegem vers le centre fermé 127bis.

14:00 - 18:00 : Concerts devant le centre fermé : Les Voix des Garennes, Jour de Fête, Daniel Hélin, Haleh et The Bikinians.

 

Parce que la poésie et la musique sont des armes douces mais redoutables contre l'injustice, parce que l'art et la mobilisation des artistes permet de sortir de l'indifférence, parce que les centres fermés sont la honte de nos soi-disant démocraties, parce que l'on veut offrir aux sans-papiers un chant de solidarité, montrer aux autorités notre désaccord et rappeler aux gens l'existence des ces prisons : faites de la musique, pas des centres fermés!

 

Au plaisir de vous y voir,

 

Matthieu (pour la CRER)

 

site internet : www.myspace.com/steenrock

 
 


Dossier de presse "Steenrock" en pièce jointe...

 

STEENROCK

« Faites de la musique, pas des centres fermés ».

 

affiche steenrock corrigée

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vendredi 16 avril 2010

[21septembre] 17 avril - Exposition d’affiches : "20 de lutte contre les centres fermés"

Exposition d'affiches : "20 de lutte contre les centres fermés"

Samedi 17 avril , entre 10h et 18h, VUB salle "Nelson Mandela"

Info Crer ; Jeanne Depireux 0485 177443

Au-delà du débat sur les politiques d'immigration belge et européenne, ou plus sûrement en qualité de préambule, nous souhaitons par cette exposition entamer une réflexion sur cet outil de gestion des flux migratoires que sont les centres fermés.

Qu'est-ce qu'un centre fermé ? Qui connaît leur existence ? S'est-on déjà posé la question de leur légitimité ?

Plus de 8000 personnes transitent chaque année par l'un (ou plusieurs) des 6 centres fermés de notre pays. Parmi ces personnes, près de la moitié sont finalement libérées[i], après plusieurs semaines ou mois de détention, avec un ordre de quitter le territoire, ou, autrement dit, une invitation hypocrite à vivre dans la clandestinité.

Qui sont ces personnes ? Les centres accueillent aujourd'hui des personnes aux situations très variées : demandeurs d'asile dont la demande est en cours de traitement, demandeurs d'asile déboutés, personnes vivant dans la clandestinité et arrêtées par les services de police, personnes considérées comme « inadmissibles », etc.

Ces hommes et femmes sont donc privés de leur droit fondamental d'aller et venir sur simple décision administrative, sans jugement et sans n'avoir commis aucun délit. Comment cette détention se justifie-t-elle ? La loi du 15 décembre 1980 et l'AR du 2 août 2002 le précisent : « la détention, la mise à disposition du Gouvernement et le maintien ne constituent pas des sanctions mais des moyens d'exécution d'une mesure d'éloignement ». Les centres fermés, une machine à expulser.

Les conditions de vie dans les centres fermés sont particulièrement humiliantes et traumatisantes. La personne détenue ne reçoit que très peu d'informations et d'explications sur sa situation et ses droits, ne connaît pas la durée de sa détention ni son issue, vit dans la peur d'une expulsion pouvant survenir à tout moment, et n'a que très peu de contacts avec l'extérieur. Bien souvent, la communication est difficile en raison de la langue. Le régime y est carcéral, collectif, le droit à la vie privée n'est pas respecté.

Mais plus que tout, c'est la finalité même de l'enfermement administratif qui est insoutenable : l'expulsion forcée et souvent violente d'une personne vers un pays qu'elle ne connaît plus, qu'elle a quitté dans des circonstances souvent très difficiles, et où elle ne veut pas vivre parce qu'elle n'y voit aucun avenir, parce qu'elle craint pour sa vie ou parce que ses attaches sont désormais en Belgique.

En théorie, la détention ne peut pas dépasser 5 mois (loi du 15 décembre 1980). En pratique, la durée de détention est illimitée, puisque les compteurs sont remis à zéro après l'échec d'une tentative d'expulsion.

L'éloignement de quelques milliers de personnes par an du territoire belge justifie-t-il les traitements dégradants et inhumains infligés aux personnes étrangères venues chercher refuge et un avenir meilleur pour eux et leurs enfants ? Cette « machine » si peu efficace est-elle digne de notre chère démocratie ?

Elle ressemble d'avantage à un instrument destiné à décourager – en vain – les candidats potentiels à l'immigration, mais aussi et surtout à rassurer l'opinion publique belge au réflexe trop souvent xénophobe sur le fait que le « problème » de l'immigration est sous contrôle.

Nous réclamons la suppression de tous les centres fermés et l'arrêt des expulsions.

La CRER – Coordination contre les Rafles, les Expulsions et pour le Régularisation.



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[i] Aide aux Personnes Déplacées, Caritas International Belgique, le Centre Aide aux Personnes Déplacées, Caritas International Belgique, le Centre Social Protestant, le CIRÉ, Jesuit Refugee Service Belgium, la Ligue des droits de l'homme asbl, le MRAX, Point d'Appui, le Service Social de Solidarité Socialiste, Vluchtelingenwerk Vlaanderen ; 2006. Centres fermés pour étrangers : état des lieux. Chiffres obtenus en excluant le centre INAD étant donné le caractère particulier de ce centre où le nombre de refoulement est très important.




CRER / Tel : 0474 08 85 35
Soutien au N° Triodos  :  523 - 0801898 - 74

lundi 5 avril 2010

[21septembre] 17 avril - Débat « Migrations » journee nationale du Forum Sociale de Belgique

Débat « Migrations » journee nationale du Forum Sociale de Belgique
 
SAMEDI 17 avril a 12h30
 
VUB
salle "Nelson Mandela" bâtiment Q, entrée 13
 
 
(Affiche en attache)
 
La journée national du FSB cherche a interpeller la présidence européenne qui sera tenue par la Belgique, on pense que il est nécessaire pour cadrer les enjeux européen des politiques migratoires, de parler, de celles qui servent a construire une « Europe Forteresse » avec des dispositives telles que ; l'agence de surveillance des frontières FRONTEX, la directive Européenne RETOUR (plus connus sur le noms de « directive de la Honte »), l'Externalisation des CAMPS (vers le Maroc, la Libye , etc.), le délit de solidarité, entre autres…

Au delà des réflexions politiques de fond il est nécessaire de proposer des alternatives d'engagements concrètes aux publics présents lors de ce débat, en particulier celle des acteurs de terrains et des groupes citoyens, pour en arriver, tant les personnes invites à prendre la parole que les informations diffusé (flayers, revue d'info, etc.) Aurons comme rôle de réveiller l'implication du publique a ces questions.


Prise de parole lors du débat
 
Modération du débat

Mathieu Bietlot, membre la commission socio/politique de Bruxelles Laïque et auteur du livre « Horizon fermé » Migrations, démocratie ou barbelés

Cadre juridique et politique 

Souhail Chicha, chercheur en théorie du capital, chercheur en économie de la discrimination. Ecole du commerce de SOLVAY

Des acteurs de terrain 

Sylvie Copyans, porte parole de l'association SALAM, elle viendra nous parler du travail au quotidien dans la « jungle » de Calais et sur les poursuites juridiques pour le « Délit de solidarité »

Porte parole du CSP59 de Lille. Collectif engage depuis plus de 20 ans dans les luttes en politiques migratoires et acteurs de terrain d'une grande valeur.

Amel Wasfy. Témoignage sur son emprisonnement au centre ferme 127bis de Steenockerzeel alors qu'elle étais en ceinte de 5 mois…


Oscar Flores, coordinateur de la CRER
pour le groupe « Migrations » du Forum Sociale Belge FSB
Infos ; 0474 0885 35
 
 
 



CRER / Tel : 0474 08 85 35
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vendredi 2 avril 2010

[21septembre] Communiqué de presse - Urgent! - Katherine 127bis

 

 

Communiqué de presse - Urgent - Katherine 127bis !

 

CRER (Coordination contre les Rafles et les Expulsions et pour la Régularisation)

Bruxelles, vendredi 2 avril 2010

 

Katherine Mwanja Yoh-Ekele, originaire du Cameroun, est enfermée depuis 107 jours au centre fermé 127bis après avoir passé 3 semaines au centre de Bruges. Elle souffre du SIDA/VIH à un stade très avancé qui requiert un traitement qui n'est pas disponible dans son pays. Après une première tentative d'expulsion et le refus tous les recours en Belgique, la Cour Européenne des Droits de L'Homme ordonne la suspension de toute expulsion jusqu'à ce que son cas soit traité. 

 

A quoi joue l'Office des Étrangers? Pourquoi s'acharner sur cette personne malade?

 

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Au lendemain de son arrivée au centre, le fiancé de Katherine Mwanja Yoh-Ekele avait averti le centre de sa condition médicale requérant d'urgence un traitement. Etant donné l'absence de réaction de la part du médecin du centre  - qui lui dit juste qu'elle devait "boire beaucoup d'eau et manger des fruits" -, une première lettre est envoyée par l'Institut de Médecine Tropicale d'Anvers, faisant état de la situation urgente de Katherine, conseillant de commencer le traitement le plus rapidement possible "considérant l'évolution potentiellement mortelle à très court terme (quelques semaines à un mois) si la patiente n'est pas traitée".  

 

Trois semaines plus tard, aucun traitement n'avait encore commencé. Michel Roland, médecin extérieur au centre, rend alors visite à Katherine et fait un rapport alarmant sur sa situation.  À plusieurs reprises, il en avertira le médecin du centre.  

 

Entre-temps, la procédure de demande de mariage entre Katherine et son compagnon Jeroen est rejetée le 15 février 2010, et, par conséquent, sa détention au centre 127bis est prolongée de deux mois. Cette procédure, introduite le 21 décembre 2009, exigeait de "suspendre la détention" de Katherine jusqu'à la fin de l'enquête sur leur demande de mariage. Cette décision n'a jamais été exécutée par l'Office des Etrangers (lui-même auteur de la décision...).  Le 17 février, son expulsion est programmée pour le mardi 23 février.

 

Une telle expulsion met la vie de Katherine en danger à ce stade-là de sa maladie. Compte tenu du refus des recours en Belgique, son avocat décide de faire appel, le 22 février 2010, à la Cour Européenne laquelle donne ordre de suspendre l'expulsion jusqu'à ce que le cas soit traité. Ce même 22 février, elle reçoit le début du traitement-test (soit deux mois après l'avertissement, le lendemain de son enfermement, de sa condition).

 

Est-il normal que Katherine soit toujours maintenue enfermée au centre 127bis pendant la procédure de la Cour Européenne, sachant que celle-ci peut prendre des mois avant de statuer sur son cas?  

 

Les limites du temps d'enfermement ne sont-elles pas largement dépassées?  

 

La détention ne pourrait-elle pas être considérée comme abusive? 

 

De même, lorsque la décision de son expulsion pour le 23 février a été prise, n'était-ce pas irresponsable d'ignorer les recommandations médicales déconseillant fortement son transfert?  

 

Les preuves ayant été données que le traitement dont elle a besoin n'existe pas au Cameroun, pourquoi la détenir plus longtemps?

 

 

 

Contact CRER : 

Inês Monteiro - 0497/50 37 27

Oscar Flores – 0496 40 33 09

 

 

 
 


 
CRER / Tel : 0474 08 85 35
Soutien au N° Triodos  :  523 - 0801898 - 74